Même pour Davidi Kitai, le Main Event des WSOP représente LE rêve ultime. Le Génie revient sur son édition 2019, entre goût d'inachevé et promesses pour le futur.

La première fois que j’ai joué le Main Event des World Series of Poker, alias le plus beau et le plus gros tournoi de poker au monde, c’était en 2006. À l’époque, je m’étais qualifié online pour quelques centaines de dollars. Rien qu’à l’idée de jouer ce tournoi mythique, j’avais vraiment ressenti une sensation exceptionnelle.
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Toute ma carrière de joueur de poker a toujours été stimulée et guidée par le rêve de gagner le Main Event un jour. Ce tournoi m’a insufflé de l’énergie et inspiré de l’espoir ! C’est grâce à lui que ma passion pour le poker reste intacte et que ma motivation perdure. C’est à moi de transformer ce rêve en réalité. J’ai envie d’y croire et je me donne toutes les chances pour y arriver.

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Une préparation intensive, une équipe de choc autour de lui et une grosse perf' à la clé : Pierre Calamusa revient sur son bel été de WSOP.

Après la PCA, j'ai commencé par changer de fond en comble ma préparation pour les gros tournois live. J'étais arrivé aux Bahamas sans aucune préparation physique ni mentale, ce qui avait conduit à une prestation catastrophique sur le Main Event. Certes, j’ai terminé 25e, mais j'avais une occasion en or d'atteindre la finale. À force de répéter les erreurs, arrivent un moment où elles deviennent des choix. J'ai donc investi énormément de moyens pour aborder cet été à Vegas de la meilleure des manières.

Lisez le blog "Un Vegas pas comme les autres"

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Aucun ITM au compteur mais beaucoup de beaux souvenirs et autant d'étoiles dans les yeux pour Gaëlle Baumann : récit d'un été de WSOP surtout passé en dehors des tables.

Mais alors, qu'est-ce qu'on fait quand le poker se résume à sauter d'un tournoi, re-entry et sauter à nouveau dans l'heure qui suit ? Vous me connaissez, je ne suis pas du genre à m'apitoyer sur mon sort mais plutôt à profiter des à-côtés pour passer un bel été malgré tout ! Si jamais vous vous retrouvez un jour dans la même situation à Vegas, voici quelques tuyaux pour occuper vos journées.

Lisez le blog "Un si mauvais Vegas ?"

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Entre ses propres perfs et les victoires répétées de ses copains, Adrien Delmas a vécu un Vegas riche en émotions. C'est parti pour un bilan bien chargé.

Les objectifs, beaucoup de joueurs s’en fixent pour, mettons, un festival, mais ne reviennent jamais dessus ensuite pour essayer d’en tirer des leçons claires, et créer des lignes de conduite efficaces pour les tournois futurs. C’est que je me propose de faire ci, avant de revenir sur les moments les plus marquants de mon été (et il y en a eu un joli tas !)

Lisez le blog "Le Vegas de tous les frissons"

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Ses origines mêlées et ses voyages autour du monde lui ont permis de se frotter à une infinité de cultures : Aladin Reskallah nous dévoile tout ce qu'il a pu apprendre au contact des autres.

Chaque jour, je m'efforce d’être curieux et d’apprendre au contact des autres : sur leurs habitudes, leurs coutumes, leurs parcours, en résumé leur culture.

Cette façon de faire, je ne l’ai peut-être pas choisie. La vie a fait en sorte que je naisse en France avec des origines algériennes et ukrainiennes, avant de me promener pour habiter successivement au Canada, au Brésil et au Cambodge.

Les cultures, les modes de vie, les langues étrangères et les autres façons de penser m’ont toujours intéressé. Quand je suis quelque part, les habitants, leur façon de vivre et d’appréhender le monde m’intéresse toujours plus que les activités touristiques incontournables listées dans les guides de voyage.

Lisez le blog "Le grand bouillon de culture"

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À quoi bon être le meilleur si c'est en trichant et en se mentant à soi-même. Pour João Vieira, l'objectif est simple : se surpasser et devenir un meilleur être humain. Un blog en forme de leçon de vie.

Pour moi, l’objectif est de se surpasser. De se lancer des défis. De s’améliorer. Et quand on devient un meilleur cycliste, un meilleur joueur de basket, un meilleur joueur de poker ou quoi que ce soit d’autre, on devient une meilleure personne. Un meilleur ami. Un meilleur fils. Un meilleur être humain. Et devenir un meilleur être humain, c’est rendre meilleure la vie des personnes autour de soi. Voilà la seule chose dont il doit être question.

Lisez le blog "Le roi est nu"

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